Explorer La Science du Plasma #5

12 mars 2018; la vidéo originale sur youtube

1e expérience : Semences et GaNS au sec

On cherche à comprendre les effets de différents GaNS sur différentes semences, ainsi que les effets sur les propriétés des semences/plantes par les GaNS.

Les semences utilisées étaient : Betterave, Kale, Tatsoi, Laitue rouge, Laitue verte, Roquette.

Les GaNS utilisés étaient : CO2, CuO, ZnO, CH3, Mix, Eau-de-mer, Ormus.

Le Processus

  1. Les semences étaient exposées aux champs des GaNS pendant 1, 5 et 10 jours. On a placé des petites quantités de GaNS dans un pot en verre; on a placé quelques semences dans une éprouvette (à sec) et ensuite l’éprouvette dans le pot en verre avec le GaNS. Sur l’image tous les pots sont rapprochés pour la photo; mais en réalité, les pots ont été placés dans des endroits différents avec un espace de 3m minimum entre chacun pour éviter que les champs des GaNS interagissent.
  2. Ensuite il a planté les semences dans des cellules selon leur temps d’exposition : une rangée de semences traitées à côté d’une rangée de semences non-traitées.
  3. Après 14 jours toutes les plantes étaient transplantées dans un système hydroponique. Toutes les plantes ont été récoltées 61 jours après la plantation des semences.

 

 

Le Résultat

Il n’y a pas de différence par rapport à la croissance entre les pousses traitées et non-traitées; toutes les plantes poussaient de la même façon par rapport à la couleur, la taille, la santé et le poids.

Cela confirme la fonction de la semence, qui est de protéger l’embryon de la plante avant que l’eau ne soit ajoutée, qui fait briser la couche protectrice. C’est la raison pour laquelle il faut tremper les semences dans de l’eau de GaNS (avec de la salive selon Anastasia), celle-ci va pénétrer l’endocarpe et initier la germination.

Conclusion

On peut considérer les semences comme les enfants de la plante-mère. Elles ont une très grande  variété de forme, taille et couleur. Les plantes utilisent différents agents dans leur environnement pour propager les semences et ainsi assurer leur survie (le vent, les animaux, les oiseaux, les insectes, etc.). Les semences proviennent des fleurs; elles peuvent être à l’intérieur du fruit (avocat) ou à l’extérieur (fraise).

La plante-mère entretient une ‘ligne de communication’ directe avec sa progéniture.

Les fleurs par leur parfum et couleur attirent les pollinisateurs et la qualité des fruits attire d’autres animaux pour les manger et les propager ainsi par leurs fiantes.

Les semences sont fondamentalement du GaNS sec. Le GaNS sec est déterminé dans son positionnement, il ne peut pas bouger librement comme le GaNS dans une solution aqueuse. L’endocarpe de la graine, son enveloppe, a son propre champ gravitationnel-magnétique, sa force de champ magrav spécifique. Ce champ protège la graine des champs de l’environnement, de la terre et du soleil. Il est assez fort pour protéger la graine des différents champs de GaNS dans l’expérience.

C’est l’ajout de l’eau (qui est un plasma H2O), qui fait germer la graine. L’eau est un médium dans lequel les champs sont libres de se repositionner, ce qui crée un dynamisme, des interactions qui peuvent pénétrer l’enveloppe : c’est l’oxygène dans l’eau qui a la force magrav nécessaire pour ‘ouvrir’ l’endocarpe de la graine. Comme nous avons appris plutôt, la graine est du GaNS sec – statique, figé. La présence de l’eau permet le développement d’une grande variété de dynamismes qui, dans leur ensemble, démarrent l’ouverture de la graine et la croissance de la pousse. Une fois la graine ouverte, l’autre composant de l’eau, l’hydrogène, va apporter l’énergie nécessaire pour entretenir la croissance.

Mais ce n’est pas seulement la présence de l’eau qui provoque la croissance d’une nouvelle plante.

Dans la nature, il y a beaucoup de graines différentes en même temps dans la terre; elles sont toutes exposées à la pluie, mais chaque espèce germe en son temps. Ce moment propice est déterminé par rapport au champ du soleil et de la terre (saison). Donc la nouvelle vie nécessite l’eau et une relation spécifique entre les champs solaires et terrestres.

Cela explique bien pourquoi l’exposition au GaNS sec n’a pas d’effet – il n’y a pas d’interaction possible entre les GaNS extérieurs et les GaNS intérieurs des graines. C’est

seulement au moment d’ajouter de l’eau qu’une interaction est possible. Mais à ce moment-là il n’y avait plus d’exposition aux GaNS.

2e expérience : Tremper les semences dans du PL

On a trempé des semences de radis dans du PL-CO2 pendant 12 à 24 heures.

Il n’y avait pas  encore de différence par rapport à la croissance, mais le développement racinaire était différent : il y avait plus de racines et plus de complexité. Lorsqu’on trempe les semences et on les plante en terre ensuite, on change effectivement l’environnement autour de la plante bien au-delà du stage des pousses.

Un champ plus fort dans la plante engendre des changements dans l’environnement local. Par conséquent les plantes deviennent  plus indépendantes de leur environnement ‘matériel’ jusqu’à un certain degré . Moins de dommages peuvent en résulter  causés par des périodes de sécheresse, de froid etc. Autre effet : les plantes récoltées ont une durée de conservation prolongée. La hausse générale de santé garde aussi les nuisibles (insectes, maladies) loin de la plante.

La semence originale

Chaque plante existe depuis des millénaires; pendant tout le temps de la vie de son espèce, elle a subi bien des changements par rapport au climat (chaleur, froid, sécheresse, excès d’humidité). La plante s’est toujours adaptée à ces changements. Chaque changement, chaque condition est un champ magrav différent, qui s’ajoute à la collection des champs d’une plante et qui rend, par conséquent, la plante plus capable de s’adapter car elle dispose de plus d’expérience.

Les interventions humaines ont eu la même influence sur la signature plasmique des plantes – surtout les plantes cultivées. Chaque changement ajoute ‘une autre couche’ d’information sur les champs d’une plante; mais la semence originale reste toujours sous toutes les couches. La même constatation s’applique aux manipulations génétiques

Autres expériences à faire

Qu’est-ce qu’on peut faire :

  1. Tremper les semences dans différents PL.
  2. ‘Rebobiner’ les semences, c’est à dire re-découvrir la graine originale. Pour ce faire M.Keshe a suggéré de poser des graines OGM dans un contenant avec du PL-CO2 qui flotte dans un contenant plus grand rempli de PL-CuO. Cette opération devrait enlever les couches ‘cultivées’ pour atteindre la semence originale. Il faudrait alors traiter des graines de maïs monsanto et les planter après – l’expérience sera réussie si les fruits des nouvelles graines ont le pouvoir de germer.
  3. Planter un fil de cuivre (partiellement nano-plaqué) proche des plantes de roses et tomates.
  4. Appliquer des anneaux tubulaires autour des branches ou troncs (CO2 et ZnO)
  5. Placer des bouteilles, balles de ping-pong avec du PL+GaNS à des endroits stratégiques du jardin (par exemple la formation étoile)
  6. Proposé par Alex : planter dans des contenants en béton fait avec PL
  7. Appliquer les enseignements d’Anastasia. Le jardin est un espace d’amour ( décrit dans son 1ier livre?)