Objectivation des champs de Plasma

Par le groupe Jacques Gaffet

Nous aurions pu nous contenter des nombreux témoignages corroborés par nos propres résultats et des retours directs de notre entourage. Cependant, nous avons cherché à objectiver les effets physiques des différents GaNS en faisant abstraction des témoignages auxquels on oppose souvent la subjectivité. Nous avons donc cherché des voies qui nous permettent de réaliser des observation sur la matière, notamment sur l’eau et le sang. C’est ce que nous partageons maintenant avec vous.

Méthodologie d’observation sur micro gouttelette d’eau

La méthode d’évaporation de gouttelettes sous microscope à fond noir permet de révéler le phénomène d’auto-organisation de particules en suspension dans des fluides, en nano- et micro-structures durant l’évaporation de la gouttelette. Au moment où l’eau passe de l’état liquide à l’état de vapeur, elle laisse alors l’empreinte des particules sur son support.

Cette méthode révèlent des structures cristallines avec divers degrés de complexité, allant de simples points ou structures peu ramifiées, des croix, à des dendrites plus ou moins complexes, des structures élaborées, des lignes droites ou incurvées, des formes hexagonales…

La première expérience et publication sur l’analyse de la qualité de produits agricoles par cette méthode date d’environ 10 ans. Elle a vu le jour en Italie pour déterminer la qualité de semences de blé. De là vient l’idée de transposer cette méthode pour observer non pas une substance organique, plante, aliment ou autre, plongés dans de l’eau pure, mais d’observer l’eau elle-même à partir de micro gouttelettes de 0,3 microlitre. Le processus est donc inverse : observer la solution, l’eau, et non le soluté.

Quatre personnes s’investissent dans cette aventure depuis maintenant plus de quatre ans en expérimentant longuement des eaux d’origines diverses ou informées. Les premiers résultats, particulièrement instables nous ont conduit à créer un environnement permettant de contrôler tous les paramètres environnementaux offrant ainsi une approche plus rigoureuse. Pour assurer une étude constante et fiable, le contrôle des paramètres d’observation, d’expérimentation comme des paramètres physico-chimiques devenait indispensable. Pour remplir ces conditions nous avons créé une cabine de bio-cristallisation.

La petite cabine, fait de matériaux naturels, est protégée des ondes électromagnétiques par plusieurs systèmes. Les conditions d’implantations basées sur les règles de la géobiologie ont également été observées. La température et l’hygrométrie sont également contrôlés.


Voici quelques exemples de signatures aqueuses : L’eau de Fatima, l’eau du lac Titicaca, l’eau de Amma, l’eau d’Evian

Comme on peut l’observer, les signatures des eaux présentent une multitude de variétés. Avec un protocole expérimental éprouvé et sûr, le défi est désormais de lire et comprendre ce que l’eau peut exprimer et nous montrer à partir de sa structure la plus intime. Toutefois, en laissant parler son intuition, à la lumière de ces quelques exemples, on devine aisément quelle eau présente les meilleures qualités.

Après avoir étudié des eaux de multiples provenances (voir exemples ci-dessus), il nous est venu l’idée d’observer des eaux de GaNS. Ces images parlent d’elles-mêmes. Elles mettent en évidence la « signature » exceptionnelle des eaux de plasma.

Observation d’eaux de plasma :

 
Dans des solutions de 5 ml d’une eau de source lambda (voir image ci-dessous), il a été ajouté 3 gouttes d’eau de plasma (CUO2, CH3 CO2/ZNO). La première image relative à cette eau de source, non additionnée de GaNS, nous montre une signature mal structurée, quelconque, tandis que les trois autres images, obtenues avec la même eau démontrent la transformation exceptionnelle obtenue par l’ajout de trois gouttes de chacun des trois GaNS. La structure globale des trois eaux de plasma testées est comparable : elle évoque la forme d’une cloche.

En revanche, les microstructures à l’intérieur de la forme globale sont fondamentalement différentes. Quand on compare la signature de l’eau de plasma avec une eau de source de qualité (voir photos ci-dessus) nous avons le sentiment de passer de la 2D à une forme 3D.


Tests cliniques de GaNS

Par Prof. Khan @2:21:00 (à l’université de Tokyo)

C’est une procédure de laboratoir universitaire – nous n’avons pas besoin d’appliquer une telle rigueur.

Préparation du GaNS-CO2 selon la procédure du laboratoire universitaire à Tokyo :

  1. Production du GaNS

    1. Installer une plaque de Cu-np (nanoplaquée) et une de Zn simple dans un contentant de plastique.

    2. Connecter avec une diode comme le décrit M.Keshe

    3. Préparez une solution de NaOH (0.5m = 1/2mol de NaOH dans 1l d’eau) et la chauffer à 60 ° C.

    4. Versez la solution dans un contenant en plastique (nommé ‘réacteur’ par la suite).

    5. Le réacteur est posé dans un bain-marie pour le garder à 60 ° C; après 24 heures le réacteur enlevé du bain-marie qu’il peut se refroidir à la température ambiante.

  2. Lavage; cette séquence doit être répété 4x.

    1. Enlever le sédiment et transvaser dans de bouteilles de centrifuge à 50ml; ensuite centrifuger pendant 10 min à 10.000 T/min.

    2. Ensuite ajouter 50ml (même volume que le sédiment) MilliQ (eau ultra pure)

    3. Maintenant on soumet le sédiment à la sonication (exposition à des ondes sonores pour agiter des particules. Le volume était 3L, le maximum à la sortie de l’ultrason = 320W à une fréquence de 35kHz. L’énergie appliqué par poids de nanoparticules en suspension était estimé à 4.8kJ/50ml de sédiment (0.4g)

  3. Séchage

    1. Après le 4e cycle de séchage, les particules sont séché à l’air à 80° C à la pression atmosphérique normale.

    2. Ensuite le matériel est réduit dans une poudre fine à l’aide d’un mortier et pistil

    3. Ensuite la poudre est encore séché pendant 2 heures dans un four de vacuum à 60 ° C et 20 kPa.

In-vivo test 1

Le PL-CO2 a été testé avec des souris atteint d’un cancer dans le laboratoire. On a injecté 1ml de GaNS+eau par jour directement dans la tumeur. L’eau de GaNS était fait avec des particules de GaNS supendu dans de l’eau dans une proportion de 5mg par kg de poids vivant.

Résultats

Le GaNS avait atteint un maximum en 5min dans le sang; et rapidement disparaissait après 15 minutes; après une heure le GaNS avait pratiquement disparu. Les mêmes résultats avaient été observés dans le tissu des organes (foi, rein, rate). Pas de dommage des tissus avait été observés non plus.

Après un mois le tumeur a disparu et la souris était redevenu saine.

In-vivo test 2

Les souris avaient un cancer intestinal.

La protocol

  • 3mg de GaNS-CO2 dans 1l d’eau distillée

  • 3mg de GaNS-ZnO dans 1l d’eau distillée

  • Mélanger les 2 solutions en raison de 3p CO2 avec 1p ZnO pour obtenir une solution de 0.3mg/ml.

  • La solution est administrée en raison de 1ml/jour (pendant 20 jours) par voie orale, ou sous-cutanée ou vénale

  • les souris sont divisé en groupes comme suit :

    1. Groupe contrôle (10 souris) qui reçoit 1ml d’eau distillé

    2. Groupe application orale; une moitié avec du GaNS-CO2; l’autre avec du GaNS-C)2+ZnO (3:1)

    1. Groupe injection sous-cutané : une moitié avec du GaNS-CO2; l’autre avec du GaNS-C)2+ZnO (3:1); suspendu dans une solution de formol à 10%

Résultats

  • Le GaNS devient efficace à partir d’un dosage de 15µg/ml CO2 et 0.1µg/ml; les acides aminés de la production respective n’ont pas d’effets anti-cancers.

  • Les images A-B montrent l’état des souris avant et 20 jours après administration par injection; les images C-E montrent l’état des souris avant et après 20 jours d’application par voie orale.

  • La tumeur commence à se réduire et disparaître après 2à3 jours. L’administration de GaNS-CO2 ou de GaNS-ZnO font disparaître le cancer; ; le GaNS-ZnO est légèrement plus efficace que le GaNS-CO2.